Syndrome de l'imposteur au travail : 10 astuces pour s'en sortir
Tu as l'impression que ton·ta manager doute de toi ? Tu crains qu'il·elle découvre que tu n'es pas à la hauteur ? Tu as l'impression que tu peux perdre ton job du jour au lendemain ? Tu es persuadé·e que tes collègues sont meilleurs que toi et qu'ils vont découvrir que tu es une supercherie ? Tu as l'impression de ne jamais être à ta place ?
Cette posture d'imposteur te bouffe la vie. Tu as du mal à sortir ces pensées intrusives de ta tête. Insomnies, boules au ventre, remises en question, le syndrome de l'imposteur au travail transforme ta routine en cauchemar. Il génère de fortes angoisses, difficiles à maîtriser.
Si tu es arrivé·e sur cet article, c'est que tu en as marre de douter de toi en permanence, de remettre en question tes moindres faits et gestes, d'avoir la sensation de ne pas mériter ton travail.
Rassure-toi, tu es loin d'être seul·e à ressentir ça. De nombreuses personnes en souffrent. Selon une étude du Journal of Behavioral Science, près de 70% des personnes dans le monde en sont victimes.
Nous allons t'expliquer ce qu'est le syndrome de l'imposteur, par quoi il se manifeste et SURTOUT te donner nos solutions pour lutter contre cette sensation désagréable qui te ronge l'existence.
Qu'est-ce que le syndrome de l'imposteur ?
Toi qui en ressens tous les maux au quotidien, sais-tu véritablement ce qu'est le syndrome de l'imposteur ?
Un petit peu d'histoire s'impose
Le syndrome de l'imposteur est une notion qui a été théorisée par Pauline R Clance et Suzanne A. Imes, dans un ouvrage nommé "le phénomène de l'imposteur chez les femmes hautement performantes : dynamique et intervention thérapeutique" publié en 1978.
Dans le cadre de cette étude, 150 femmes reconnues comme excellentes dans leur domaine professionnel ont été interviewées. Les résultats sont symptomatiques de ce mal qu'on appelle aujourd'hui le syndrome de l'imposteur : la plupart d'entre elles attribuaient leurs divers succès à la chance ou minimisaient drastiquement leurs compétences et accomplissements. Ce syndrome est loin d'impacter que les femmes. Le docteur Clance le décrit comme "une expérience interne de fausseté intellectuelle". Les personnes souffrant du syndrome de l'imposteur performent, mais n'arrivent pas à intérioriser cette performance. Rassure-toi, le syndrome de l'imposteur n'est pas "une maladie pathologique intrinsèquement dommageable ou autodestructive". Malgré tout, cette dévalorisation permanente altère négativement le bien-être des personnes en souffrant.
Cette docteure met en avant 6 caractéristiques potentielles propres aux personnes souffrant du syndrome de l'imposteur :
- Le cycle de l'imposteur : ce cycle commence dès qu'une mission ou une tâche débute, qu'elle soit scolaire ou professionnelle. Les personnes ressentent alors instantanément des craintes d'impostures, qui génèrent de l'anxiété. Face à ces émotions négatives, elles réagissent soit par une "surpréparation extrême" soit par "une procrastination initiale suivie par une préparation frénétique". Une fois accomplie, elles ressentent fugacement un sentiment d'accomplissement ou de soulagement, mais le sentiment d'angoisse perdure. Malgré les retours positifs, elles sont persuadées que les succès associés ne sont pas liés à leur propre performance. Elles rejettent alors les compliments, faute de concevoir qu'il s'agit d'une récompense objective.
- Le besoin d'être spécial ou d'être le·la meilleur : intérieurement, les personnes souffrant du syndrome de l'imposteur "nourrissent en secret le besoin d'être les meilleurs par rapport à leurs pairs". Or, en évoluant dans un milieu large, ces faux "imposteurs" côtoient régulièrement d'autres personnes aux qualités exceptionnelles. Elles se rendent alors compte que les leurs ne sont pas si admirables. Elles rejettent leurs talents et se pensent stupides.
- Les aspects Superman/Superwoman : cette notion dépend de la précédente. En souhaitant être meilleures que les autres, les personnes souffrant du syndrome de l'imposteur ont une "tendance perfectionniste". En effet, elles rêvent la perfection et se fixent des objectifs trop élevés, souvent impossibles à atteindre. Déçues de ne pas les atteindre, elles ont l'impression de ne jamais être à la hauteur.
- La peur de l'échec : les "imposteurs" se retrouvent confrontés à des niveaux très élevés d'anxiété devant une "tâche liée à l'accomplissement" et craignent d'échouer, de ressentir de la honte et de l'humiliation. Pour contrer cette peur d'un éventuel échec, elles vont se mettre en situation de surmenage.
- Le déni des compétences et l'absence d'éloges : la plupart des compliments que reçoivent les "imposteurs" ne sont pas intégrés. Ils ne les pensent pas valables. La majorité du temps, les personnes souffrant du syndrome de l'imposteur au travail "développent des arguments pour prouver qu'ils ne méritent pas d'être félicités ou crédités pour des réalisations particulières". Ils réfutent l'objectivité d'une situation dès lors qu'elle est positive et les valorise.
- La peur et la culpabilité face à la réussite : les personnes souffrant du syndrome de l'imposteur ont peur et culpabilisent des effets négatifs de la réussite. En effet, elles pensent que leurs succès, parce qu'ils sont inhabituels dans leur famille ou chez leurs pairs, les éloignent de leurs proches. Elles s'inquiètent alors d'être rejetées par les autres pour cette raison.
Les femmes et le syndrome de l'imposteur
Selon Néon Magazine, si la moitié des hommes (63%) ont déjà ressenti le sentiment d'imposture au travail, 72% des femmes estiment que cela empêche leur carrière d'évoluer. Les femmes sont donc particulièrement sujettes au syndrome de l'imposteur au travail. On peut expliquer ce phénomène par plusieurs raisons, notamment par les effets néfastes des stéréotypes de genre.
Pas de panique, nous allons t'expliquer de quoi il s'agit et comment le combattre !
Pourquoi souffres-tu du syndrome de l'imposteur ?
Toujours selon l'étude publiée Journal of Behavioral Science, l'environnement familial et certains styles d'éducation peuvent affecter les valeurs de réussite et influencer notre manière d'appréhender l'échec. Selon la docteure Clance, 4 caractéristiques familiales peuvent contribuer à accentuer ce sentiment d'imposture :
- La perception qu'ont les personnes souffrant du sentiment d'imposture que leurs talents sont atypiques par rapport aux autres membres de la famille
- Certains messages familiaux qui transmettent l'importance des capacités intellectuelles et notamment que le succès nécessite très peu d'efforts (qu'il est inné)
- Un écart entre le feedback sur les capacités et les succès
- L'absence de renforcement positif
Des traits de personnalités tels que le neuroticisme (tendance à ressentir des émotions négatives et de l'anxiété), le névrosisme et le perfectionnisme peuvent également accentuer le sentiment d'imposture.
Plusieurs autres raisons ont été exposées par différents auteurs :
- Selon Nicolas Sarrasin, notre société inculque des valeurs très individualistes qui ancreraient un esprit de compétition et de comparaison
- Elsa Andron, psychologue du travail et psychologue clinicienne, pense que le syndrome de l'imposteur se révèle chez l'enfant dès lors qu'il reçoit des opinions de lui-même contradictoires entre l'école et son environnement familial. Dans ce cas, l'enfant aura tendance à croire l'opinion négative et penser que l'opinion positive est un mensonge, dans le but de lui faire plaisir.
Comment reconnaître le syndrome de l'imposteur au travail ?
Le syndrome de l'imposteur touche beaucoup de personnes dans le milieu professionnel. Et pour cause : dans le cadre de n'importe quel travail, nous sommes confrontés à un devoir d'accomplissement quotidien. Et l'accomplissement est la bête noire des personnes sujettes à ce syndrome.
Or, l'état anxieux que génère le syndrome de l'imposteur provoque parfois de véritables problèmes psychologiques : burn-out, dépression, troubles anxieux sévères, surmenage. Ces états psychologiques ont un impact sur notre travail, notre évolution et notre épanouissement professionnel.
Quelques exemples pour savoir si tu souffres du syndrome de l'imposteur au travail
Voici quelques exemples d'émotions négatives que peuvent ressentir les personnes sujettes au syndrome de l'imposteur au travail (et dans lesquels tu te reconnaîtras sûrement) :
- Avoir l'impression de ne jamais mériter une augmentation ou une promotion
- Penser que son embauche n'est qu'une histoire de chance
- Souffrir de perfectionnisme aigu
- Passer des heures à peaufiner le moindre détail et scruter la moindre erreur avant de rendre un livrable
- Passer à côté de certains moments de leur vie personnelle pour travailler davantage
- Avoir l'impression d'être au bord du burn-out
- Craindre que quelqu'un se rende compte de leur incompétence
- Etre angoissé devant un nouveau challenge professionnel
- Rêver d'être parfait
- Réfuter les compliments et feedbacks positifs
- Redouter que leurs collègues découvrent leur incompétence
- Avoir peur de travailler avec plus fort qu'elles
- Avoir une boule au ventre en réunion
- Avoir du mal à encaisser les feedbacks négatifs
- Ne pas fêter ses réussites
- Se comparer maladivement à ses collègues
- Prendre tout personnellement
Rassure-toi, le syndrome de l'imposteur n'est pas un trouble incurable !
La reconversion professionnelle, un moment propice au sentiment d'imposture
Si tu es une personne sujette au syndrome de l'imposteur, certaines périodes pourront te mettre à l'épreuve. On pense notamment à la reconversion professionnelle ou encore à la recherche d'emploi. Ces moments révèlent une peur intense de l'échec. Et pour cause : tu sors de ta zone de confort, tu te confrontes à des personnes plus expertes que toi (la hantise), tu dois prouver tes capacités professionnelles (alors que tu en doutes profondément).
Sache que tu n'es absolument pas le·e seul·e à douter lors de ces phases de changement. Ce sentiment est légitime, surtout lors d'une reconversion professionnelle. Mais, il ne faut pas que le syndrome de l'imposteur t'empêche de sauter le pas. C'est justement un bon moment pour combattre cette peur qui sommeille en toi. Tu seras fièr·e d'avoir affronté et combattu tes angoisses pour exercer un métier auquel tu aspires.
Même si tu as l'impression de tout recommencer à 0, tes anciennes compétences sont un véritable avantage pour amorcer ta nouvelle carrière professionnelle. Chez Ada Tech School, nous adorons les profils en reconversion. En premier lieu, car ces personnes sont généralement très motivées (elles ont pris "des risques" pour commencer une nouvelle vie) et sont prêtes à investir du temps et de l'énergie dans leur apprentissage du code. Puis, parce qu'elles ont développé des soft skills nécessaires pour exceller dans le domaine de l'informatique. Résultat : malgré leurs craintes, ces profils sont très prisés des recruteur·se·s.
Si tu es dans cette situation, lis cet article jusqu'à la fin, car nous donnons des conseils précieux pour affronter le syndrome de l'imposteur !
Comment surmonter le syndrome de l'imposteur ?
Pour surmonter le syndrome de l'imposteur, il faut s'attaquer à la problématique en profondeur. Voici quelques astuces pour t'en débarrasser :
Accepte que tu souffres du syndrome de l'imposteur, tout simplement
Cette étape est primordiale et la plus importante. Si tu es conscient·e que tu souffres du syndrome de l'imposteur, tu es déjà sur la bonne voie. La prochaine fois que tu ressentiras des émotions négatives, tu pourras ENFIN poser un mot sur ces angoisses. Non, tu n'es pas nul·le, tu souffres simplement du syndrome de l'imposteur. Non, tu ne vas pas faire couler ton entreprise, tu souffres du syndrome de l'imposteur. Non, ton·ta collègue ne pense pas que tu n'as pas ta place ici, tu souffres du syndrome de l'imposteur. La nuance est très importante. Le fait de se sentir nul·le est une vue de l'esprit, une réflexion subjective qui n'est pas représentative de la réalité. Si tu arrives à mettre tes émotions négatives sur le compte du syndrome de l'imposteur, tu auras déjà fait un énorme pas vers le chemin de la guérison.
Ose exprimer tes angoisses à tes pairs
Les personnes souffrant du syndrome de l'imposteur affolent à l'idée d'être démasquées. Une fois exprimée, cette peur ne peut que s'envoler. Garder tes émotions négatives pour toi ne fera qu'aggraver ce syndrome. Ces pensées polluent ton esprit. En te sentant "imposteur", tu ne peux pas juger objectivement une situation dans laquelle tu es actrice·acteur. Réfère-toi aux gens qui t'entourent. Tu as une bonne relation avec un·e collègue de travail ? Ton ou ta boss n'exprime pas assez sa reconnaissance ? Confie-toi. Raconte ce que tu traverses. Réconfort, compréhension, réassurance : en parler est le meilleur moyen pour calmer ton esprit trop critique.
Focalise-toi sur les faits
La plupart des personnes souffrant du syndrome de l'imposteur sont incapables de percevoir objectivement leurs accomplissements et réussites professionnelles. Elles ne prennent pas assez de recul. Elles naviguent dans un monde parallèle, celui de leur esprit. Comment faire pour avoir les pieds sur terre ? Recentre-toi sur des faits ! À bas les interprétations calomnieuses, on veut des chiffres, des résultats concrets, des mails, des preuves de réussite qui ne se réfutent pas. Consacre un petit moment pour faire un panorama de tes dernières réalisations.
Cesse de te comparer aux autres
Lorsque l'on manque de confiance en soi, nous avons souvent tendance à nous comparer aux autres. On s'imagine qu'ils sont tellement plus forts et exceptionnels que nous. Ils représentent cette perfection tant recherchée. Nous avons aussi tendance à nous comparer à l'incomparable. Mais finalement, qu'est-ce que l'on en sait ? Eux aussi souffrent-ils peut-être du syndrome de l'imposteur ?
Essaie de transformer cette forme de jalousie destructive en admiration positive. Tu admires une personne pour ses qualités professionnelles ? Demande-lui conseil pour progresser. Tu as plus à apprendre à admirer qu'à envier. Pour cela, il faut que tu acceptes que la perfection n'existe pas. Facile à dire, nous diras-tu ! On te l'accorde, c'est un exercice de tous les jours. Rappelle-toi que si tu as été engagé·e, c'est pour des qualités qui te sont propres et que d'autres n'avaient pas. Aie confiance aux personnes qui t'ont embauché·e. Penses-tu qu'elles auraient risqué de recruter quelqu'un d'incompétent ? Non.
Change ta perception sur la performance
La performance est difficile à cerner. D'un côté, une entreprise valorisera la performance individuelle quand une autre valorisera la réussite collective . L'important est de te construire un rapport sain à la performance. Sur les bancs de l'école ou à l'université, nous avons appris tantôt à jalouser, tantôt à humilier l'autre pour ses bonnes ou mauvaises notes. Nous avons intériorisé que la réussite était individuelle et non collective. Nous avons appris qu'être meilleur que les autres était la seule manière de réussir professionnellement. La quête de la perfection et de la meilleure performance est donc intrinsèque à notre éducation. Or, personne n'est LE ou LA meilleur·e. Nous avons tous des choses à apporter à une équipe ou à une entreprise. Tente donc, dans le cadre de ton job, de voir les choses sous cet angle, à l'image de la pédagogie Montessori. Prends plaisir à ne pas être parfait·e. Prends plaisir à apprendre auprès de personnes douées. Inversement, prends plaisir à aider tes collègues grâce à tes qualités professionnelles qu'ils ne demandent qu'à développer.
Trouve-toi un mentor
Le syndrome de l'imposteur a la fâcheuse tendance de nous isoler. Dur de calmer sa petite voix intérieure... Pour la faire taire, entoure-toi d'un mentor. Qu'est-ce qu'un mentor ? Dans le milieu professionnel, un mentor est une personne respectée pour son expertise dans un domaine. Des personnes bienveillantes de ton entourage sont reconnues pour leurs compétences dans ton secteur d'activité ? Contacte-les. Demande-leur des conseils. Ils ne pourront que t'aider à surmonter ton syndrome de l'imposteur. De plus, la majorité des personnes aiment qu'on leur demande de l'aide et se sentent valoriser.
Fête tes succès
Les personnes souffrant du syndrome de l'imposteur renient leurs réussites. Elles les mettent souvent sur le compte de la chance ou du hasard. Or, si tu es sujet à ce syndrome, il faut véritablement que tu t'entraînes à fêter tes succès. Commence en douceur. Par exemple : tu as rendu un livrable à l'heure alors que les datelines étaient serrées ? Félicite-toi d'avoir tenu les délais. Parles-en à ton entourage. Trinque en hommage de ce travail réalisé en temps et en heure. Tu as été félicité·e pour ton professionnalisme lors d'un rendez-vous client ? Même si tu n'y crois pas, force-toi à parler de ce feedback positif à tes collègues, ta famille ou tes amis. Au fur et à mesure, tu te rendras compte que ces petites réussites du quotidien sont finalement très valorisantes et font de toi quelqu'un d'important dans l'entreprise.
Clarifie en amont les critères de réussite d'une mission
La peur de l'échec s'amplifie lorsque l'on n'arrive pas à cerner les critères de réussite d'une mission. Dans ce cas, ton syndrome de l'imposteur risque de s'intensifier. Pour l'anticiper, demande à ta hiérarchie de déterminer en amont ce qu'elle attend de toi : quels sont les indicateurs de performance à suivre ? À quel moment considère-t-elle que la mission est réussie ? Quelles sont les datelines ? Comment les résultats doivent-ils être communiqués ? Plus c'est clair, plus c'est rassurant !
Personne n'est parfait, on ne te demande pas de l'être
Le plus important ! On ne te demandera jamais d'être parfait·e, mais toujours de faire de ton mieux. Personne n'a la science infuse. Tu paniques à l'idée qu'on te pose une question à laquelle tu n'as pas de réponse ? Explique simplement que tu n'as pas la solution et que tu vas tout faire pour l'apporter. La plupart des grands entrepreneurs et entrepreneuses se remettent tous les jours en question, enchaînent les échecs, mais finissent toujours par rebondir. C'est le propre de l'apprentissage.
Prends rendez-vous avec un professionnel
Tu as l'impression que malgré ces conseils, ton syndrome de l'imposteur persiste ? Dans ce cas, n'hésite pas à consulter un professionnel :)
Notre école d'informatique Ada Tech School a construit un modèle d'éducation s'inspirant de la pédagogie Montessori pour t'aider à apprendre avec plaisir, à ne pas te comparer aux autres, à fêter les succès collectifs. L'idée est de permettre aux nouvelles générations de talents, notamment les femmes, de se sentir sûres d'elles dans des équipes techniques, largement composées d'hommes. Cette pédagogie est une arme pour contrer le syndrome de l'imposteur dans ta future vie professionnelle. Si tu cherches à te former à l'informatique, rejoins notre formation de développeur web !
À propos d’Ada Tech School
Ada Tech School est une école d’informatique inclusive, qui forme au métier de développeur·se en 21 mois. Elle a trois campus : Paris, Nantes et Lyon. Au sein de l'école, les apprenant·e·s apprennent en faisant, grâce à une pédagogie alternative inspirée de Montessori, approchant le code comme une langue vivante et favorisant la collaboration et l’entraide grâce à des projets collectifs. L’école doit son nom à Ada Lovelace, qui fût la première programmeuse de l’histoire.
Après neuf mois de formation, les apprenant·e·s sont opérationnel·le·s et prêt·e·s à réaliser leur apprentissage - rémunéré - pendant douze mois dans une des entreprises partenaires de l’école (Trainline, Deezer, Blablacar, JellySmack, Back Market, ...).
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Sources :
- The impostor Phenomenon, Journal of Behavioral Science
- Néon Magazine "Une grande partie des femmes douffre du syndrome de l'imposteur"